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Tunisie/Agriculture: y’a-t-il une crise de semences ?

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Certains pays en Afrique, notamment dans le nord-africain, ou la région qu’on appelle « Le grand Maghreb » composé essentiellement de l’Algérie, le Maroc et la Tunisie, basent leurs développements économiques sur le secteur de l’agriculture. Mais ce dernier s’il n’est pas entre de bonnes mains, ne pourra avancer et ce sera la crise.

C’est le cas en Tunisie, et où ce pays connait une croissance dans ce secteur, de telle sorte qu’il devient l’une des bases de la vie des tunisiens, qui par ricochets ne peuvent s’en passer. D’après les statistiques, le secteur de l’agriculture est l’un des piliers du développement en Tunisie, en sus du tourisme dans tous ses aspects.

Ce secteur qui connait des problèmes à tous les niveaux, du manque des terrains agricoles exploitables, de l’irrigation manquante qui fait que certains paysans (Fellah) ne savent à quel saint se vouer, tant il est vrai que ces problèmes demeurent insurmontables. Ainsi donc, un autre problème aurait surgi durant ces derniers mois, à savoir la qualité de la semence utilisée, et d’où elle provient.

Une question sur laquelle le président de la chambre nationale (Tunisienne) des producteurs de semences avait répondu lors de son intervention dans une radio locale en date du 5 novembre, en l’occurrence A.Jalel. Ce dernier aurait démenti l’existence de semences importées en Tunisie, assurant que toutes les semences dans ce pays ne sont pas hybrides.

Le responsable en question aurait également affirmé que les déclarations du président de l’union régionale de l’agriculture dans la région de Manouba, que les propos du président de l’URA (Union régionale de l’agriculture) dans la région de Manouba ne sont pas précises et manquant de précisions, tout en assurant que toutes les semences sont contrôlées par le ministère de l’agriculture.

Tout comme il aurait déclaré que les semences sont disponibles selon un programme établi par les organismes de tutelle.
Enfin, il a ajouté que la moyenne des productions couvre près de 25% des besoins des agriculteurs. Ce qui est considérée comme étant logique et consistant et qui aiderait les paysans à aller de l’avant, dans le but s’avoir une récolte suffisante.




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