La situation sanitaire se détériore à Gaza. Le ministère de la Santé du Hamas annonce un nouveau bilan de 21 110 morts depuis le début de la guerre, le 7 octobre, et plus de 55 243 blessés.
Dans l’autre camp, 1 140 personnes ont été tuées lors de l’attaque du Hamas du 7 octobre, selon les données fournies par le gouvernement israélien.
Par ailleurs, l’armée israélienne a affirmé jeudi avoir tué plus de 2 000 combattants palestiniens depuis la fin de la trêve début décembre.
Par rapport à la situation, le quotidien est toujours plus rude à Gaza ce jeudi 28 décembre, renseigne RFI.
« De nombreux hôpitaux ne fonctionnent plus, la famine s’étend et il n’est pas possible d’avoir accès à l’eau potable dans certaines localités. Les maladies aussi se multiplient et même les soldats israéliens y sont exposés », rapporte la radio mondiale.
Mercredi 27 décembre, souligne la même source, l’un d’entre eux, blessé au combat et infecté par un champignon présent dans les eaux usées à Gaza, est mort.