Alors que le Japon réclame l’extradition du magnat de l’automobile déchu, la justice libanaise a interdit jeudi à l’ancien PDG de Renault-Nissan de quitter le pays suite à une demande d’arrestation d’Interpol. « Vous avez des gens qui ont envie que vous ne vous en sortiez pas (…). Vous savez, si vous étiez en Corée du Nord, ou si vous êtes en Chine ou si vous étiez dans la Russie soviétique…« , a déclaré dans un entretien accordé à France 24, enregistré à Beyrouth jeudi 9 janvier 2020.
Dans l’interview ci-dessous, Carlos Ghosn compare la justice japonaise à celle de la Corée du Nord.