Africa Top Success Ils font l'Afrique
En Algérie, dés qu’un entraîneur ne réussit pas de bons résultats, on le limoge et on le remplace immédiatement par un autre. Mais des fois, les directions de certains clubs ne trouvent toujours pas de coachs successeurs, d’où la nécessité de régulariser ceux limogés.
L’exemple des entraîneurs qui viennent d’outre-mer, comme on aime les appeler en Algérie, notamment de France, où une fois limogés ou séparés de leurs clubs demandent des indemnités de limogeage, et rares sont ceux qui partent sans demander, soit réparation ou autre chose, dans la mesure où ils se sentent trahis.
Ces entraîneurs, qui insistent pour rester dans les clubs où ils se sont engagés, même si ces derniers se retrouvent dans le bas du classement, sinon demander réparation en cas de limogeage. Et là, certains ne lâchent rien et attendent que les directions de leurs clubs respectifs les liquident des barres techniques pour avoir des indemnités sans travailler.
Bref, au MC Alger, un club de la capitale Algérienne, c’est le stand-by, concernant le futur coach qui succèdera au français, Bernard Casoni, qui depuis son départ, suite à l’élimination en ligue des champions d’Afrique face à l’ESS, n’a pas été remplacé.
Dans un premier temps, la direction du club avait négocié avec l’ex-coach de la JS Kabylie, de la JSM Bejaia, du MC Oudjda (Maroc) et le MC El Eulma, Azzedine Ait Djoudi, mais apparemment la piste de ce dernier a été écartée, et on dit que ce sont les exigences financières de ce dernier qui auraient capoté.
La direction du doyen, dont le manager général, Kamel Kaci-Saïd ne compte pas baisser les bras, et aurait profité du retour de l’enfant de Sétif, Khierdine Madoui, qui avait jeté l’éponge de la barre technique du club égyptien, El Ismaily pour le contacter, et négocier avec l’éventualité de l’engager pour le restant de la saison sportive.
Nous y reviendrons….
