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KÉMI SÉBA : PANAFRICANISME 2.0 ?

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Interview de Kémi Séba, en direct le 21/11/2018 à 20h. Kémi Séba, né Stellio Gilles Robert Capo Chichi le 9 décembre 1981 à Strasbourg, est un activiste politique et essayiste franco-béninois, figure du radicalisme noir et du panafricanisme contemporain. Il officie par ailleurs en tant que chroniqueur de télévision en Afrique

L’interview :

Les livres de Kémi SEBA : 

Supra-négritude: essai

Black nihilism:

résistance africaine au mondialisme,

retour à la tradition primordiale

Le contexte :

Biographie
Naissance
Nom de naissance
Stellio (Stélio) Gilles Robert Capo Chichi
Pseudonyme
Kémi Séba
Nationalité
Activité
Autres informations
Religion
Condamné pour

Kémi Séba, né Stellio (Stélio) Gilles Robert Capo Chichi1,2 le 3 à Strasbourg, est un activiste politique4,5 et essayiste6 franco-béninois7,5, figure du radicalisme noir8 et du panafricanisme contemporain9,10,11. Il officie par ailleurs en tant que chroniqueur de télévision12 en Afrique13.

Initialement membre francophone de Nation of Islam14,15 Kémi Séba se fait d’abord connaître en France en tant que fondateur ou porte-parole de plusieurs organisations, notamment « Tribu Ka » et « Génération Kémi Séba », toutes deux dissoutes par décret pour incitation à la haine raciale. Se présentant comme anti-impérialiste et antisioniste, il est considéré, par de nombreux journalistes et politologues français et étrangers, comme un militant raciste antiblancracialiste et antisémite16,17,18,19,20,21,22,23 ainsi qu’un adepte de l’action violente dans les années 200024. Il est également considéré comme un suprémaciste noir25,26.

Il s’installe ensuite au Sénégal, où il poursuit son militantisme politique et devient conférencier dans des universités9,12 et, à partir de 2013chroniqueur politique dans diverses chaînes de télévision africaines12. Cette nouvelle activité lui vaut une certaine popularité auprès d’une partie de la jeunesse africaine francophone, qui le considère comme un défenseur de la souveraineté africaine9,27

Le politologue Stéphane François décrit la posture politique de Kémi Séba comme celle d’un « racialiste intégral qui a renversé la pyramide raciale élaborée au xixe siècle : le peuple civilisateur n’est plus celui des Aryens, mais l’Africain noir28. »

Afrocentriste radical à ses débuts, Kemi Seba déclare abandonner sa vision racialiste en 2008, pour adhérer au panafricanisme. Ce nouvel engagement le fait devenir en quelques années une figure médiatique de ce courant idéologique en Afrique francophone.

Après avoir brûlé un billet de franc CFA sur une place publique à Dakar, afin de protester contre le manque de souveraineté monétaire qui touche les pays utilisant cette devise, il est expulsé du Sénégal en septembre 2017, à destination de la France. En octobre 2017, il s’installe au Bénin.

Source :  https://fr.wikipedia.org/wiki/K%C3%A9mi_S%C3%A9ba

La rédaction, à Lomé, TOGO




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