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Une CAN qui met en lumière les entraîneurs « africains »

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Le licenciement en série des « sorciers blancs » à l’issue de l’élimination prématurée des équipes qu’ils dirigeaient a permis une montée en puissance des coachs locaux même si la plupart sont plutôt des binationaux. Cette 34e Coupe d’Afrique des Nations ouvre une nouvelle ère pour les sélections en Afrique.

Les entraîneurs binationaux à l’instar d’Aliou Cissé (Sénégal), Walid Regragui (Maroc), Kaba Diawara (Guinée), Éric Chelle (Mali) ou encore Emerse Fae (Côte d’Ivoire) ont eu l’occasion de faire preuve de leurs compétences et d’inscrire leurs noms dans l’histoire des sélections africaines.

« Il faudra toujours la compétence et le talent. Mais, il est vrai que le fait d’avoir la double nationalité, de connaître les réalités culturelles de son premier pays, tout en étant imprégnés des autres subtilités du deuxième, fait gagner du temps. C’est une forme de raccourci pour ces entraîneurs binationaux », explique le Français Claude Le Roy, ancien entraineur des Eperviers du Togo, cité par Rfi.

La fin de cette compétition de la Coupe d’Afrique des Nations dévoile le succès des sélectionneurs binationaux, même s’il n’est pas trop tard.




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