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Le compte à rebours à été lancé hier, 25 septembre 2018 par le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, en marge de la 73e Assemblée générale des Nations unies. Cette rencontre de haut niveau sera marquée en outre par les prises de parole des chefs d’Etats, notamment celle de Faure Essozimna Gnassingbé, président de la République togolaise.
Si les présidents Français et Américains ont surpris plus d’un à travers leurs discours, ce ne fut pas le cas du Togo. Fortement attendu à la tribune des Nations unies où le président Togolais devrait faire son discours au nom du Togo, cette sortie s’est finalement vue annuler.
Qu’est-ce qui s’est finalement passé? S’interroge l’opinion.
En effet, rien de surprenant puisque le chef de l’Etat a lui même annulé son discours en signifiant qu’il ne prendrait pas la parole. Mais, si nous nous referons bien à l’ordre protocolaire établit par les services de l’ONU, ce sont les Présidents qui prononcent en premier les discours, ensuite, les vices Présidents, puis les Premiers Ministres etc…
Or, d’après les informations recueillies, la délégation togolaise devrait au départ informer les canaux officiels des instances de l’ONU pour que des dispositions soient prises. Ce qui n’a pas été le cas.
Accueillant environ 130 chefs d’Etat et de gouvernement, cette 73e Assemblée se penchera sur des questions qui minent le monde actuel.
Dans son mot de circonstance, Antonio Guterres, secrétaire général actuel des Nations a déploré mardi un « monde de plus en plus chaotique», à l’ouverture de l’Assemblée générale.
