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Les séquestrations et autres viols sont devenus monnaie-courante dans certains pays, où il ne se passe pas un mois, voire des semaines sans entendre ça et là des méfaits pareils. Et comme dans certains cas, les surprises sont de taille et mettent en émoi des citoyens et l’environnement des victimes, comme ce fut le cas de la jeune Salsabil, habitant un quartier dans une région d’Oran en Algérie, où la petite enquête préliminaire aurait révélé que la victime a été violée puis tuée par son agresseur ou plutôt son violeur.
Au Maroc, et plus exactement dans la ville d’Ouled-Ayad dans la région de Beni Mellal-Kénitra, une jeune fille aurait été séquestrée, violée puis torturée par un groupe de jeunes, dont on dénombre 13. C’est ce que dénonçait l’association « Ettahadi pour l’égalité et la citoyenneté ».
D’après les infos colportées ça et là, la jeune fille a été violée à tour de rôle par ses agresseurs. Comme on affirme qu’elle aurait été séquestrée pendant plus d’un mois. Le comble, c’est qu’elle serait brûlée avec des cigarettes et mutilée avec des objets tranchants, avec lesquels ils ont marqué des insultes sur sa peau.
La fillette a pu quand-même s’échapper de ses agresseurs, mais qu’elle fut la stupéfaction de sa mère, qui était sous le choc et qui avait décidé de porter plainte. Une enquête a été enclenchée et on affirme que huit (08) sur les treize (13) auraient été arrêtés par la police, alors que les cinq (05) autres sont activement recherchés par la police.
Les jeunes risquent gros sur le plan judiciaire, alors que dans le même moment, l’association Ettahadi se serait portée partie civile dans l’affaire. Ladite association prévoirait de prendre un avocat pour défendre la victime. Cette dernière aurait besoin d’un traitement psychologique indispensable. Selon l’entourage de la fille, cette dernière aurait reçu un choc terrible.
