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L’immigration clandestine prend de plus en plus de l’ampleur dans les pays sous-développés ou en voie de développement. Des jeunes refusant leurs statuts négatifs, cherchent à aller ailleurs. Les pays du Maghreb sont de plus en plus touchés.
La fuite des cerveaux reste un constat alarmant, dans la mesure où ceux qui ont des diplômes et des études supérieures se retrouvent obligés de fuir leurs pays respectifs, à la recherche de situations stables, cela sans oublier que les autorités de leurs pays respectifs ne répondent pas souvent à leurs doléances, qui consistent en premier lieu à des postes d’emploi stables, mais aussi bien rémunérés.
La Tunisie reste l’un de ces pays touchés par l’immigration clandestine, où les tunisiens choisissent souvent des pays du continent Européen, pour s’exiler et vivre leur vie. Y’en a ceux qui arrivent à atteindre leurs objectifs et il y’en a ceux qui meurent et périssent dans la mer.
.En tous les cas, le constat est alarmant, où on annonce que pas moins de quatre (4000) mille tunisiens auraient quitté ce pays maghrébin et ce d’une manière clandestine depuis le début de 2018, et contre six mille (6000) mille migrants réguliers. Ce constat établi par le chef de la mission à l’organisation internationale pour les migrations, L.Lando.
Ainsi donc, et dans son allocution au « Forum international ONG-UNESCO », la responsable a souligné que les pays concernés doivent adopter les règles de la gouvernance en tout ce qui concerne le dossier de la migration. Elle dira en outre que l’organisation en question dirige plusieurs programmes au niveau international, visant à garantir les droits des migrants et à assurer leur intégration.
Les autorités tunisiennes seraient incapables de régler ce phénomène de migration clandestine. Sinon, les chiffres et le nombre accroîtrait de mois en mois, d’année en année, et deviendra très inquiétant à l’avenir.
