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Les fermetures de routes n’est pas propres aux habitants de la région de Kabylie en Algérie, d’où leurs citoyens qui se lamentent des mauvaises conditions de vie, et de la non-considération des autorités locales de ces régions, qui ne répondaient pas à leurs doléances aux moments opportuns.
En Tunisie, des fermetures de routes mais d’un autre genre. En effet, et d’après les échos colportées, la dernière visite inopinée, il faut le signaler du ministre de l’intérieur par intérim, J.Ghazi effectuée jeudi passé aura fait des mécontents.
Ca parle des propriétaires des parasols et restaurants qu’on annonce qu’ils seraient installés anarchiquement sur les plages. Ces derniers qui ne seraient pas du goût de la décision dudit ministre par intérim, qui leur aurait signifié l’interdiction de telle installation considérées anarchiques et désorganisées.
Les protestataires et pour crier leur colère et réagir face à cette décision, qu’ils considéreraient arbitraire, auraient décidé de bloquer la route en ce matin de dimanche. Ladite route mènerait vers les plages de Ghar-El Meleh et Sidi Ali Mekki au gouvernorat de Bizerte.
Même si on annonce que la visite du ministre est venue suite à des plaintes déposées par des citoyens qui ont été victimes d’abus, cela n’a pas empêché outre-mesure lesdits propriétaires de fermer la route. A l’heure où nous mettons sous presse, aucune solution n’a été prise, ni de coté ni de l’autre. On affirme que chaque partie camperait sur sa décision.
Pour certains, il faudrait que l’état intervienne pour mettre fin à ces anarchies signalées ça et là au niveau de certains plages tunisiennes, sinon, ce serait la débandade et cette situation donnera une mauvaise image de ce pays, pourtant touristique, qui reste la destinée préférée de plusieurs citoyens du monde, dont des européens et des africains, notamment des voisins.
