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Tunisie: le président se félicite des relations tuniso-américaines

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Depuis la révolution de 2011, qui a conduit à la chute de l’ancien président Ben-Ali et de son régime, la Tunisie est devenue un pays où les libertés individuelles et collectives ne sont point un  vain mot.

Bien sûr, cela ne veut pas dire que si le pays est entré depuis dans une autre aire de démocratisation, Chaque citoyen est libre de dire ce qu’il veut mais sans toucher aux libertés et à la dignité des autres.

Les autorités de ce pays veillaient justement à ce qu’il y’ait respect des libertés individuelles. C’était en tous les cas une nouvelle aire qui s’était ouverte pour les Tunisiens pour vivre dans la dignité et loin des conflits.

Bref, elle était conduite par le président de la commission pour la sécurité et la coopération en Europe, le sénateur  W.Roger. Il s’agit d’une délégation du sénat et du congrès américains qui a été reçue ce dimanche par le président tunisien, Beji Caid Essebsi. Une occasion pour le premier magistrat de la Tunisie de soulever les relations diplomatiques et politiques entre son pays et les Etats-Unis qu’ils estiment privilégiées.

Il a indiqué à cet effet que le partenariat stratégique établi entre son pays et les Etats-Unis se traduit par le soutien politique et économique avantagé mais aussi permanent qu’a apporté la première puissance du monde à son pays.

Le président tunisien souhaite en outre voir les relations bilatérales entre les deux pas se consolider dans tous les domaines. Il le souhaite de la meilleure manière qui permettra la réalisation du développement et la stabilité dans son pays et dans la région.

Pour le chef de la délégation du sénat et du congrès américain, le sénateur W. Roger, ce dernier a tenu d’abord à saluer les liens d’amitié unissant les deux pays depuis plus de deux siècles déjà, qui selon lui sont profonds. Il dira que la visite en elle-même vise justement à réaffirmer l’intérêt qu’accorde son pays à la réussite de l’expérience de la transition démocratique en Tunisie.

Au cours des discussions, les deux parties ont traité plusieurs sujets d’ordre international et régional, entre autres la situation au Moyen-Orient, la crise Libyenne et ses derniers développements, la cause palestinienne.

 




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