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Des propos peu courtois, une attitude indigne, une scène insoutenable..Jean-Luc Mélenchon était au cœur de l’action, lors de la perquisition des locaux de la France insoumise.
Téléphone à la main, Jean-Luc Mélenchon a passé sa journée de mardi à filmer les policiers qui perquisitionnaient chez lui et à dénoncer « une agression politique ».
« La République, c’est moi », « Poussez-vous de là », « Ma personne est sacrée », autant de propos débités par le leader de LFI. Une attitude condamnée par des internautes français qui s’insurgent contre un « coup de sang de trop », une certaine agressivité. En d’autres termes, Jean-Luc Mélenchon n’est pas au-dessus de la loi.
Pour rappel, alors que l’affaire Benalla battait son plein, ce dernier faisait partie de ceux-là qui réclamaient à cor et à cri la perquisition du domicile de l’ancien collaborateur d’Emmanuel Macron.
L’ambiance tendue entre Mélenchon et la justice, qui tourne en boucle sur les réseaux sociaux, aurait pu se passer sans grabuges.
Dans la mesure où les perquisitions menées au domicile de l’eurodéputé et de ses collaborateurs, ont été menées dans le cadre de deux enquêtes préliminaires: l’une sur les assistants parlementaires présumés fictifs, l’autre sur les comptes de campagne du mouvement.
Mais le leader de ne le voit pas de cet œil. Pour Mélenchon, cette perquisition a été décidée par le pouvoir politique en place.
Reçu ce mercredi matin par Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, le leader de la France insoumise assume ses protestations à l’encontre des forces de l’ordre.
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https://www.youtube.com/watch?v=rqrrRxK_6wg
