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Les capitales d’Afrique centrale mal classées parmi les villes agréables à vivre

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Le cabinet américain de conseil Mercer vient de livrer son classement 2023 sur la qualité de vie dans le monde. Les capitales des pays d’Afrique centrale occupent des places peu enviables.

Dans son classement 2023 sur la qualité de vie dans le monde publié le 11 décembre 2023, le cabinet américain de conseil Mercer fait savoir que les pays d’Afrique centrale occupent le bas du classement. Au niveau de la Cemac, Libreville la capitale gabonaise (14e africain et 177emondial) est classée première ville devant Yaoundé et Douala qui se classent respectivement 2e et 3e au classement des villes offrant la meilleure qualité de vie aux expatriés sur les six capitales de la zone qui figurent dans le rapport du cabinet américain. Aucune ville de la Guinée équatoriale n’est classée. Brazzaville au Congo (232e mondial), N’Djamena au Tchad (236e), et Bangui en République centrafricaine (239e) ferme le classement. Les capitales Yaoundé et Douala, respectivement capitale politique et capitale économique du Cameroun, occupent respectivement la 28e et la 29place des villes africaines où il fait bon vivre sur 47 classées.

Les deux principales villes du pays perdent chacune trois places dans ledit classement par rapport à celui de 2019 où Yaoundé occupait la 25e place africaine et Douala la 26e place. À l’échèle mondiale, les deux capitales du Cameroun sont respectivement classées 207e et 210e

Sur le plan africain, la ville de Port-Louis à Maurice est considérée comme la plus agréable où s’expatrier en Afrique devant Victoria aux Seychelles et le Cap en Afrique du Sud. N’Djamena au Tchad, Bangui en Centrafrique et Khartoum au Soudan ferment ledit classement.

Le classement de cette année étudie un total de 241 villes dans le monde sur la base d’une quarantaine de critères répartis dans 10 catégories différentes. À savoir, l’environnement politique et social, l’environnement économique, l’environnement socioculturel, les considérations médicales et sanitaires, les écoles et l’éducation, les services publics et le transport, l’infrastructure urbaine, les loisirs, les biens de consommation, les logements et, enfin, l’environnement. Des critères sur lesquels s’appuient souvent les étrangers pour s’expatrier dans un pays.

Essama Aloubou




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