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Qui arrêtera cette violence qui se propage dans les rues, des coins isolés, des agglomérations et dans les grandes villes connues par des agitations malveillantes ? Assurément pas les citoyens qui restent souvent impuissants, qui de peur de représailles, qui de peur d’être des cibles des voyous, des repris de justices et des malfaiteurs.
Bien sûr, on nous dira qu’aucun pays ni une ville du monde n’est à l’abri de toute mauvaise surprise, mais pour beaucoup, il faut mettre fin à ces agissements par la force ou par la sensibilisation. A cet effet, des associations organisent des séminaires, des conférences pour justement parler de ce phénomène dont seules les victimes peuvent se lamenter de ne pas avoir de protecteurs au moment des faits.
Au Maroc, ce pays ne faillit pas à la règle, où un individu ayant commis un crime en décapitant sa victime. Un homicide volontaire dans la banlieue de Mohammedia et qui était dénoncé par des citoyens. Les infos colportées affirment que la police de cette ville a été contrainte de tirer des balles de sommation à l’encontre de cet individu, qui serait selon les indiscrétions dans un état anormal.
Cet homme dont on dit qu’il menaçait les éléments de police et les citoyens à l’arme blanche, mettant leur vie en danger, mais une fois arrêté, la dépouille de sa victime a été examinée, alors qu’une enquête serait encore en cours afin d’identifier l’identité de la victime, étant donné qu’elle a été décapitée.
L’identification qui a pris quelques heures a finalement donné l’identité de la victime qui serait celle d’un homme âgé de 33 ans et qui serait un vagabond depuis un bon moment déjà et qui était recherché par les services de sûreté de la ville d’Oujda depuis 2004 et ce pour coups et blessures. Les informations faisant état d’un professeur comme rapporté par certaines médias ont été vite démenties après cette identification.
