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Les pays maghrébins ne sont pas à l’abri des scandales qui éclatent au grand jour, laissant perplexes les gens, d’où l’impuissance et l’incompréhension qui y règnent en maître. Des citoyens ne pouvant réagi, ayant peur de représailles, ceci même s’il s’agissait d’atteinte à des personnes. Il faut dire que les menaces existent et personne ne peut lever le petit doigt.
Au Maroc, un scandale d’exploitation sexuelle d’élèves par leur enseignant de la langue « arabe » a éclaté au grand jour. Un scandale qui est cité au niveau du lycée Massira Al Khadra de la ville de Kenitra et qui fait trembler les familles, les responsables de l’académie du Ghrab mais surtout les élèves.
Bien sûr, personne n’a voulu en parler, afin de ne pas jeter le déshonneur sur les familles dont les filles ont subi les pires sévices de la part du prof en question, décrit comme un pervers. « Le poète », serait le surnom du prof, père de famille menant une double vie. La presse marocaine faisant état que le concerné conduisait ses élèves et certaines de ses collègues dans une garçonnière, dans le but de les soumettre à ses désirs.
On avance que même s’il y’avait des plaintes déposées contre lui, il sortait toujours de l’affaire. Or selon le ministère marocain de l’éducation dément les informations selon lesquelles un professeur est impliqué dans un scandale sexuel avec plusieurs élèves de ce lycée, en affirmant qu’aucun scandale sexuel ne s’est produit au lycée « La Marche verte » à Kenitra.
Le ministère de la tutelle affirme également qu’une commission s’est rendue sur place, d’où les premiers éléments de l’enquête indiquant que le lycée « La Marche Verte » n’a aucun lien avec les articles parus dans la presse marocaine. Selon le ministère, aucune plainte n’a été déposée par des élèves de ce lycée, ni même des autres lycées du pays.
