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Il parait que les dernières tentatives de décisions préconisées par le président de la république Tunisien aurait ébranlé la scène politique locale et où les tunisiens n’ont pas compris sur quelle base le premier magistrat de ce pays ait lancé ces dires et pourquoi il l’aurait fait ces derniers temps précisément. Certains voient comme étant un acte politique pour détourner l’opinion publique tunisienne sur les questions importantes, qui de surcroît préoccupent les tunisiens au plus haut degré.
Outre les simples citoyens, les cadres de cette nation, des partis politiques voient en l’initiative du président tunisien qui aurait proposé l’institution d’une loi sur l’égalité dans l’héritage entre l’homme et la femme viserait tout simplement à détourner les vraies revendications des tunisiens qui s’articulent autours du développement, la lutte contre la corruption et l’emploi.
Une initiative de l’égalité de partage de l’héritage entre les deux sexes (Hommes et femmes) qui est aussi vue comme étant une tentative de détourner l’attention de l’opinion publique des questions importantes. Une manière à conférer aux sujets qui préoccupent les tunisiens une dimension idéologique conflictuelle inutile.
Parmi ces partis politiques, des sources citent le CPR et le mouvement Wafa qui selon des infos recueillies au niveau local, condamné la démarche du président de la république, qui selon eux tenterait d’instaurer de nouveau la bipolarisation de la vie politique, de telle façon à diviser les citoyens pour sauver le parti au pouvoir et instituer l’héritage du parti et du pouvoir.
Les deux partis en questions auraient également critiqué la soumission aux diktats étrangers. Ils estiment en toute que cette initiative n’est autre qu’un pas franchi sur la voie de l’application des recommandations du parlement européen qui appellerait à la révision de la législation relative à la famille. Tout en se disant attachés à l’identité arabo-islamique, ces deux partis cités auraient exprimé leur refus de tout projet visant à semer la discorde entre les tunisiens et à porter atteinte au tissu social et au modèle sociétal tunisien.
En tous les cas, d’autres partis suivront pour répondre à cette annonce du président avec cette proposition d’institution sur l’égalité dans l’héritage entre les hommes et les femmes. Les prochains jours renseigneront sur les tenants et les aboutissants de cette proposition et si les tunisiens dans leur majorité se laisseront faire. A suivre…
