Africa Top Success Ils font l'Afrique
L’éducation en Tunisie est placée comme une priorité, eu égard de ce que ce secteur représente comme avenir pour les générations futures. Au cœur des priorités des autorités de ce secteur en Tunisie, le défi est de mettre tous les moyens nécessaires afin d’assurer une meilleure scolarité aux générations et de leur permettre d’avancer.
Dans ce contexte, dans un communiqué rendu public, le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique aurait annoncé que la faculté de droit et des sciences politiques de Sousse rouvrirait ses portes aux étudiants, employés et enseignants et ce dès ce lundi. Une décision qui aurait été prise à base de l’examen des derniers développements survenus à la faculté de droit de Sousse, et ce en coordination avec la fédération de Sousse.
Sur un autre registre et sachant que le secteur aura besoin de plus de sérénité, le ministre saluait les efforts déployés par certaines parties qui interviennent pour assainir le climat entre étudiants et direction de la faculté. L’on citera entre autres la ligue tunisienne des droits de l’homme. Cette dernière, notons-le, avait joué le rôle d’intermédiaire, d’où son souci de mettre fin à la grève de faim entamée par un étudiant.
Selon le ministre, les différentes parties concernées par la crise doivent privilégier la sagesse, condition sine-qua-non qui garantirait la reprise du travail dans cet établissement universitaire dans de meilleures conditions qui devraient être favorables. On annonce que la décision de la fermeture de la faculté de droit et des sciences politiques de Sousse était venue du recteur de cette dernière et ce depuis quelques jours déjà.
Ladite décision a été prise dans le but aussi d’assurer le bon déroulement des cours et des examens, surtout pour mettre fin aux actes de violence et les altercations survenus entre des groupes d’étudiants, d’où le calme qui devrait prévaloir, afin de permettre la reprise des cours dans les meilleures conditions possibles.
