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Côte d’Ivoire: la nouvelle exigence de Simone Gbagbo !

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La ville ivoirienne de Duekoué a accueilli les 26 et 27 avril derniers la 20ème édition de la fête la liberté du front populaire ivoirien (FPI, Gbagbo ou rien». Une célébration particulière à laquelle a participé l’ex première dame Simone Gbagbo qui a d’ailleurs prononcé le discours d’ouverture.

Face aux milliers des personnes venues des différentes localités du pays, Simone Gbagbo a profité pour rendre un hommage au peuple  »wê » qui accueille cette édition de la fête de la liberté. En choisissant cette ville, le FPI s’avait qu’elle était stratégique. Une occasion de témoigner la compassion du parti à Duekoué, ville martyre qui a vécu les pires atrocités de la crise post électorale de 2010.

Comme constaté sur place par KOACI, à son allocution d’ouverture de la 20ème édition de la fête Rechercher fête de la liberté Rechercher liberté le vendredi 26 avril dernier, Simone Gbagbo Rechercher Simone Gbagbo a réaffirmé l’attachement du FPI Rechercher FPI aux valeurs de paix et de réconciliation.

Une occasion pour elle de revenir sur les douloureux événements de la crise post-électorale de 2010.

« Au front populaire ivoirien, nous n’avons pas confiance dans les armes. Nous n’avons pas confiance dans les victoires qu’on obtient avec les armes. Nous fêtons aujourd’hui la 20ème édition de la fête Rechercher fête de la liberté. Nous sommes rassemblées pour continuer notre combat. Duekoué Rechercher Duekoué vous avez souffert, des gens sont morts, les gens sont rentrés dans les hôpitaux pour tuer des blessés. Ce qui a été vécu ici, c’est quelque chose d’inexplicable. C’est pourquoi je dis à mes parents wê Yako. Ces faits et ces blessures réclament réparation », a-t-elle déclaré.

Pour l’ex première dame, le FPI voudrait à tout prix être auprès du peuple  »wê ». Elle a appelé à la reconnaissance du génocide  »wê » et à la restitution des biens des victimes de Duekoué.

« Nous sommes venus ici (Duekoué Ndlr) pour dire au monde entier et particulièrement à ceux qui sont aujourd’hui responsables du pays et qui dirigent la Côte d’Ivoire que ici, nous appelons à la restitution de tous ce qui nous a été pris. Nous appelons à la réparation, nous appelons à la reconnaissance du génocide. Ce n’est pas parce que nous voulons retourner en arrière parce que nous considérons qu’il n’aurait jamais dû avoir de guerre dans notre pays. Nous disons qu’il ne doit plus jamais avoir de guerre dans notre nation », a-t-elle fait remarquer.




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