Expulsés manu militari de la capitale sénégalaise, plus de 450 nigériens pratiquant la mendicité, ont été rapatriés au pays par les autorités.
Dans la foulée, le gouvernement nigérien a déclaré que ce phénomène n’a aucun rapport avec la situation d’insécurité lié au terrorisme ou au déficit alimentaire.
Selon les autorités, il s’agit plutôt d’un trafic illicite de migrants et de la traite de personnes organisé par des groupes criminels en direction de certains pays voisins.
Généralement, les mendiants « professionnels » passent leurs journées à interpeller les passants, notamment aux feux tricolores, à quémander quelques pièces d’argent.
Un phénomène croissant dont certains savent tirer profit.
C’est sérieux