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Au Sénégal, la population ne sait plus à quel saint se vouer. Entre noyade, viol, criminalité à répétition, les Sénégalais doivent faire face à un nouveau phénomène: la foudre.
Le nombre de personnes foudroyées ne fait que grimper en ce début d’hivernage. Outre les inondations, la population se confronte au foudroiement.
Les éclairs ne cessent de faire des victimes. Les dernières victimes ont été enregistrées dans la nuit du 14 au 15 septembre. Il s’agit entre autres d’un jeune homme de 20 ans qui jouait et d’une femme enceinte de 35 ans.
Les citoyens s’interrogent sur les causes de l’insuffisance des paratonnerres et le mutisme de la Protection civile, rapporte Dakarbuzz.
Pour plusieurs personnes dans le cas du jeune de 20 ans, c’est son portable qui aurait attiré la foudre sur lui. Pour d’autres, c’est le résultat d’un acte commis dans le passé.
Il faut souligner que dans le temps, dans la majorité des sociétés africaines, le dieu de la foudre est invoqué sur les malfaiteurs (voleurs et autres) par les victimes. Ainsi, une personne frappée par la foudre a forcément commis un mauvais acte.
Mais, dans ce cas précis, les interrogations s’alignent, 14 décès en un mois, il y a de quoi s’inquiéter. Qu’est-ce qui est à l’origine de ces coups de foudre mortels ? Que faire pour ne pas en être victime ?
