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En tous 18 clubs de l’élite du Volley-ball national en Algérie vivent des situations financières délicates. Les dirigeants de ces clubs trouvent du mal à se procurer les finances nécessaires dans l’optique d’entamer la nouvelle saison sous de meilleurs auspices. Ces clubs se sont réunis deux fois durant la première quinzaine du mois de Septembre en cours, avec une première réunion du 06 Septembre et la deuxième du 15 Septembre, qui se sont déroulés dans la wilaya de Bordj-Bordj-Arréridj.
Les clubs en question fustigent le ministère algérien de la jeunesse et des sports sur les problèmes financiers que vivent les clubs de l’élite du volley-ball national. Selon des informations, dans un premier PV de la réunion du 06 Septembre 2018, les dirigeants de ces clubs interpellent le MJS sur ce qu’ils appellent « Le deux poids, deux mesures ».
Ils exigent une quote-part du fond national des sports, l’implication des entreprises publiques et économiques à l’image des opérateurs de la téléphonie mobile (Mobilis et Djezzy), mais aussi la Sonatrach, Sonelgaz et Naftal, et ce en leur qualité de sponsors pour l’octroi aux clubs de la nationale 1 excellence seniors hommes et dames, l’utilisation des salles des infrastructures de la jeunesse et aux sports des différentes wilayas à titre gracieux. Tout comme c’est notifié que les clubs d’élite décident de s’engager et se s’affilier à la F.A.V.B, conformément aux règlements généraux et de ne pas s’acquitter de frais d’engagements jusqu’à la satisfaction de leurs revendications.
« Monsieur le ministre, en considération de l’urgence et des problèmes que rencontrent tous les clubs de Nationale 1 Excellence seniors hommes et dames de la discipline du Volley-ball. Nous vous prions de bien vouloir nous accorder une audience dans les meilleurs délais, pour nous permettre de vous sensibiliser sur l’urgence des problèmes vécus par nos clubs. Il faut croire Monsieur le ministre que nos problèmes concernent une population de sportifs d’élite, qui sont confrontés à des difficultés qui ne leur permettent plus d’évoluer », Lit-on dans le document relatés dans certains organes de la presse algérienne.
