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Le problème de fermetures des routes au niveau de certaines localités de la région de Kabylie notamment ne semble pas s’estomper, où des citoyens ne trouvant pas de solutions à leurs problèmes quotidiens, passent leurs messages à travers des actions radicales.
En effet, et chaque début de semaine pratiquement, la grogne sociale gagne du terrain et des citoyens, soucieux que leurs doléances ne sont pas réglées ou prises en considération par les autorités locales, se trouvent obligés de fermer une route nationale dans certains axes.
Ces situations qui engendrent des circulations énormes et où ceux qui demandent leurs droits en font perdre les droits aux autres. « Comment se fait-il qu’on décide de fermer une route nationale qui est la propriété de tous le monde afin, soi-disant demander nos droits, tout en faisant perdre le droit aux autres de circuler et de vaquer à leurs occupations ? ».
C’est dire que l’ampleur de ce procédé fait mal aux autres citoyens qui ne sont pas à l’abri. A l’image des citoyens du littoral de Bejaia qui avaient procédé à la fermeture de la RN9, rien que pour exiger l’aménagement de leurs axes routiers devenus au fils du temps impraticables.
Mais est-ce une solution que de demander ses droits, tout en empêchant les autres citoyens d’aller, qui à leurs postes de travail, qui pour subvenir à leurs besoins quotidiens. « Le malheur, c’est que les autorités restent sans réagir aux doléances de leurs concitoyens, jusqu’à ce que ces derniers optent pour des actions radicales.
« Où va-t-on avec ce procédé, si ce n’est qu’il ne fait qu’empirer la situation économique des citoyens où personne n’est à l’abri de perdre même son boulot en cas de récidive de retards cumulés ?. « D’autres perdent des membres de leurs familles, car ils se retrouvent coincés devant des situation d’urgence, comme rejoindre un hôpital ou un centre de soins. ». Ce sont là les déclarations des uns et des autres de ceux qui sont lésés devant ce procédé de fermetures des routes principales, autrement dit, celles dites « Nationales », car elles sont très fréquentées.
