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Algérie/Tourisme: à quand la réouverture des sites fermés dans le sud ?

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L’Algérie possède des richesses touristiques de tout genre et dans différentes régions. Des sites intéressants à visiter, d’autres qui attirent des visiteurs d’autres pays et d’autres régions. Des vues panoramiques et paradisiaques s’offrent pour les citoyens de toutes les wilayas que compte ce pays, surtout en période estivale avec les régions du littoral, qui juxtaposent les places.

D’autres régions dans le sud algérien offrent des sites, qui pour certains, ils sont fermés pour une raison ou une autre. Leur réouverture aux touristes étrangers est une condition indispensable pour la relance de l’activité touristique dans la région. C’est là, l’estimation faite par des participants lors des journées d’étude sur le tourisme et son rôle dans le développement de l’économie nationale, et ce en collaboration avec les deux ministères de la Culture et celui du Tourisme.

C’est le cas à Tamanrasset, dans l’extrême sud du pays, ou on peut reconsidérer les potentialités touristiques du pays et de ladite région qui reflètent bien ses richesses. La fermeture de ces sites est plus que regrettable, surtout pour les touristes étrangers.  Un gaspillage énorme, dirions-nous. De ce coté, les touristes étrangers affirment que l’Algérie est meilleure que le Maroc et la Tunisie réunis, si on parle de potentiel touristique.

Pour s’y faire, il devrait y’avoir un financement suffisant à la limite de faire de ces sites la convoitise des touristes de toutes les régions du pays et même des pays de l’hexagone et du Maghreb. Mais sans une volonté politique courageuse, ce souhait de voir ces sites rouverts serait tombé à l’eau.  Et pour développer le tourisme dans la région, il faudrait des normes internationales.

L’objectif sur un autre angle est de  mettre tous les moyens à même de permettre à cette région d’être dans le « Top 10 » des destinations dans lequel figure Marrakech. Certains affirment que pour y arriver, il faudrait minimum entre 15 et 20 Ans, qui reste la période idéale pour la construction des hôtels aux normes internationales et effectuer aussi des rénovations pour ceux qui existent déjà. Cela sans oublier la formation de personnel qualifié pour effectuer les différentes tâches dans l’optique de relancer la promotion de ces régions, pour être les destinées favorites des touristes.

Des opérateurs touristiques existent bel et bien dans ces régions du Sud Algérien, mais l’activité touristique stagne suite à la fermeture des sites importants. « C’était depuis début de l’année 2010, lorsque les sites les plus prisés par les touristes nationaux et étrangers à l’image de « Tassili-Hoggar ont été fermés, que l’activité s’est nettement arrêtée.», martèle-t-on du coté de certains opérateurs.

Pour certains d’autres « Le tourisme est persécuteur d’autres activités telles que l’agriculture, l’artisanat, l’élevage et le petit commerce. ». Ce qu’on veut dire, c’est qu’il est devenu la seule source de revenus locaux, ou pas moins de 5000 citoyens vivent de ces rentes. Ce qui rend au jour d’aujourd’hui l’ouverture des sites les plus prisés par les touristes est d’une grande nécessité pour la relance de l’activité en question.




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