Selon la conclusion d’une expérimentation qui a duré trois ans, le fait de combiner un médicament anti-paludisme avec le vaccin Mosquirix pourrait réduire considérablement les cas de paludisme et la mortalité chez les jeunes enfants en Afrique.
L’information a été publiée dans la revue scientifique anglaise The New England Journal of Medicine.
Près de 6 000 enfants de moins d’un an et demi vivant dans différentes régions du Mali et du Burkina Faso ont expérimenté un traitement préventif classique avec des médicaments antipaludéen type amodiaquine et une injection du vaccin préventif Mosquirix du laboratoire Gsk.
En conclusion, la mortalité baisse de près de 75%. Ces résultats ont été salués par l’OMS et par les chercheurs maliens qui ont participé à l’étude.